Avalon L. Reynolds
→ Cycle 0 ; Fait son entrée dans l'arène .
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Date d'inscription : 23/07/2010
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 | Sujet: Avalon L. Reynolds  Sam 24 Juil - 5:07 | |
| Nous n'avons qu'une liberté ; la liberté de nous battre pour conquérir la liberté .
Henri Jeanson
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Nom ; Reynolds
Prénoms ; Avalon Lawrence
Nationalité ; Canadienne.
Origines ; Canadienne.
Date de Naissance et âge ; 17 novembre 1992.
Étudiant ou personnel ? ; Étudiant.
Emploi envisagé ;
Featuring ; Emma Roberts
Crédit du personnage ; Faith.
Cheval de DP désiré ; Restless Hiccup Richmondt
Cheval acheté ; Silver of Print
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« - Il est interdit de fumer, ici.
- Pourquoi y a un cendrier ?
- C’est une coupe.
- Elle était là rien que pour me narguer, j’parie. »
{Tiré de Remember Me.}
Détail important : Avalon Lawrence Reynolds est la fille de Daniel Reynolds en personne. Cet homme cynique et méchant de maintenant quarante-cinq ans est le propriétaire d’un vaste ranch, dans un coin perdu d’Amérique du Nord. Avec un père comme celui-là, la brune ne pouvait déjà pas être très aimable. De plus, il semble qu’elle ait hérité d’une bonne partie du caractère de son géniteur – à votre grand malheur. Sa mère est morte dans un accident de la route alors que la jouvencelle n’avait que 12 ans. Cet événement dramatique l’a particulièrement marqué et c’est sans doute cela qui a constitué le début de sa descente aux enfers, ainsi que la brusque détérioration de son caractère. Elle, qui, étant gamine, était une enfant pétillante de joie, drôle et agréable à vivre, a bien changé entre temps. Au grand dam de Daniel, elle a collectionné bêtises sur bêtises, passant des nuits entières au commissariat, dans l’unique but de faire réagir son paternel. C’était stupide, naïf et futile. Les conséquences du grand désarroi d’une adolescente livrée à elle-même, impuissante devant l’apparente insouciance de son père. En effet, le décès de son épouse ne semblait guère avoir marqué l’homme, et ce qui a sans doute davantage ébranlé notre jeune femme. Elle a voulu le faire réagir pour avoir du soutien, un poids d’appui comme elle n’en a jamais eu. Elle avait besoin de lui en cette dure période, mais il n’a jamais été là pour l’aider, la réconforter, lui dire que tout allait bien même si c’était un mensonge. Éducation à la dure équivaut à mauvais caractère, chez notre brune. Son sal tempérament peut donc être excusable une fois qu’on apprend à mieux la connaître.
Enfin, vous l’aurez compris, Avalon est une jeune fille particulièrement mystérieuse. Elle est très dure à cerner, souvent incomprise par les autres, différente, aussi. Paraît-il qu’elle n’aborderait pas la vie de la même façon que la plupart du reste de la population mondiale. Mais qu’importe ? Au premier abord, on découvre une jeune femme qui semble presque charmante mais réservée. Discrète et souvent seule dans son coin, cette éternelle solitaire ne semble pas éprouver le besoin de communiquer avec les autres. Il lui arrive de ne pas ouvrir la bouche pendant des heures, bougeant à peine, regardant le paysage d’un air morose. Introvertie, la jeune fille ? Non, plus méfiante qu’autre chose. Son regard fuyant, son air tendu, tout cela pousse à ne pas la fréquenter. Mais le fait de ne pas avoir d’amis ne semble pas la déranger. Depuis son plus jeune âge, elle demeure continuellement seule, préférant le silence à la cacophonie, la solitude à la compagnie. Seulement, dès qu’elle ouvre la bouche, son image de petit ange muté dans un profond silence s’envole d’un coup. Si elle vous adresse la parole, c’est parce qu’elle y est obligée. Généralement, elle parle le moins souvent possible. Et quand elle le fait, c’est toujours avec agressivité, méchanceté, et pour vous lancer des sarcasmes à la figure sans aucune pitié. Tout est bon pour se moquer de quelqu’un. Tout ! Son apparence physique – ce qui n’est pas très élégant, certes, mais soit – son attitude, ses actes, ses paroles ! Nous avons la possibilité impitoyable, chez les humains, de relever les défauts des autres avec une déconcertante facilité. Une arme, chez notre délinquante.
D’après ses compatriotes masculins, c’est une grande manipulatrice qui fait tourner la tête de plus d’un. Elle ne manque pas de charme, certes, et en dépit de sa méchanceté gratuite, son esprit rebelle plaît aux hommes. Si bien qu’elle a la plupart d’entre eux à ses pieds. Cela l’amuse plus qu’autre chose, en réalité. Elle aime jouer avec le feu, et jouer avec les garçons est un loisir très amusant. Parfois, elle accepte de sortir avec l’un de ses admirateurs, mais se lasse très vite. La séparation d’avec son petit copain du moment est souvent très dure, violente même, quelques fois. Toujours, cela se finit en cris, insultes, parfois en coups. Ava’ aime la violence, et il faudra vous y habituer. Certains qualifieront également cette jouvencelle de mante religieuse, diront d’elle qu’elle est incroyablement envoûtante et attirante pour les personnes du sexe masculin. Elle n’hésite pas à user de ses charmes pour parvenir à ses fins, manipulant librement son entourage. C’est presque devenu une manie, chez elle. Elle joue particulièrement bien son jeu, si bien que généralement, lorsque la personne se rend compte qu’elle n’est qu’une vulgaire marionnette pour la fille Reynolds, elle est déjà à pleins pieds dans le plat. Ses victimes mettent toujours énormément de temps à se rendre compte du petit manège de la brunette, qui s’en amuse royalement. Faites attention à vous ! Si cette jeune femme se met à vous fréquenter, c’est presque forcément pour un mauvais coup ! Elle vous trahira toujours, vous fera croire qu’elle vous apprécie alors que ce n’est pas le cas. C’est tellement drôle de profiter des faiblesses des autres !
Mais comment savoir si ce qu’elle éprouve pour vos est vrai ou non ? Comment comprendre la dure relation qu’entretient la jeune fille avec le reste de la population humaine ? Elle est passée maître dans l’art de manipuler les autres sans qu’ils s’en rendent compte, et de dissimuler ses émotions aux yeux de tous. Certains la traitent de jeune fille intouchable, insensible. Qu’importe ! Elle n’en a strictement rien à faire. En quoi sa réputation au lycée pourrait-elle encore un peu plus aggraver son cas ? En rien. Rien du tout. Ainsi donc, la jeune femme ne porte aucune attention aux ragots qui circulent sur elle, et ne cherche jamais à contredire les rumeurs toutes plus folles les unes que les autres qui l’accueillent chaque jour. A quoi bon, je vous le demande, à quoi bon ?! Mais en réalité, Lawrence est une grande incomprise. Personne ne prend jamais la peine de la connaître. La plupart des personnes normales l’évitent, la fuient même. Les insultes, elle n’en essuie plus que très rarement. Qui oserait insulter la jouvencelle partirait immédiatement pour un très long séjour à l’hôpital du coin, après qu’elle se soit occupée de son cas. Parce que, secrètement, Avalon accorde beaucoup d’importance au jugement et à l’avis des autres. Mais, d’un autre côté, elle est extrêmement sensible et supporte très mal les critiques. C’est sans doute à cause de sa sensibilité, sa tristesse et sa mélancolie permanente, qu’elle se renferme sous une sorte de carapace de froideur, se cache sous un masque faux, afin de ne jamais montrer ses émotions au grand jour. De plus, elle n’aime pas se sentir épiée, regardée. Être sous les feux des projecteurs ne l’attire pas tant que ça, étrangement. Mais tout en notre jeune femme est étrange, après tout. Elle est contradictoire, incompréhensible. Et c’est bien comme ça. Cela la rend d’autant plus dangereuse…
Vous l’aurez compris, la belle est une audacieuse par nature et une véritable rebelle. Comme beaucoup d’entre eux, elle n’aime pas la compagnie et agit en solitaire. A bas la solidarité, vive la solitude ! Telle pourrait être sa devise. Sachez que la jolie brune dit tout haut ce que les autres pensent tout bas, et est d’une franchise parfois déroutante. Pourtant, elle est une excellente menteuse et est capable de vous embobiner sans que vous puissiez vous rendre compte de rien. Aussi, elle aime clamer les causes qu’elle défend et justement les défendre en le criant sur tous les toits – une de ses sales manières. Car elle est réellement capable de monter sur le toit d’une maison pour crier des choses, que ce soit pour un pari ou pour son petit bonheur personnel. Oui, elle a un quota de conneries par jour à remplir pour se sentir bien. Ava’ aime braver les interdits. Elle a déjà passé plusieurs nuits au commissariat, a comparu devant un tribunal par le passé, a failli être jetée sous les verrous, a eu droit à plusieurs commissions de discipline. Vous comprendrez donc qu’elle n’aime pas suivre les consignes. Les ordres, les obligations, l’autorité, tout cela lui sort par les yeux ! Et c’est tellement drôle de voir les autres enrager après les diverses bêtises qu’on a pu faire. Voir tout le monde s’énerver, s’insurger contre soi alors que nous restons calmes. Du moins, du point de vue de la jouvencelle. Pourtant, je vous conseillerai de ne pas l’énerver, elle. Elle devient facilement violente, à cause de son sang chaud, voir même dangereuse. Simple conseil de ma part. Qui, soit dit au passage, assume complètement ses actes et ses paroles. Elle en est même fière. Ha oui, d’ailleurs, Dakota est presque narcissique. Un monstre d’égoïsme, de plus. Elle est royale, supérieure, vantarde, impériale même. Ho que oui, elle n’est pas facile à vivre tous les jours !
La rebelle brune au caractère électrique a en cependant beaucoup de qualités. Prévoyante, elle est très vive d’esprit et d’une intelligence incontestable. Et c’est aussi quelqu’un de très drôle, parfois même malgré elle. Terriblement maladroite et malchanceuse, cette jeune femme fait continuellement des gaffes. Renverser un vase en passant à côté, rater la première marche d’escalier, s’emmêler les pieds en reculant… Tout cela fait parti de son quotidien. Et puis, notre jouvencelle est en réalité un petit ange capable de donner un trésor d’amour et de gentillesse aux personnes qu’elle aime. Seul problème, personne n’a encore réussi à dévoiler cette facette de sa personnalité, en dehors de sa meilleure amie. Sauf que celle-ci n’est désormais plus de ce monde. Alors, je vous pose une question, à vous, qui brûlait tant à faire la connaissance de Neevah : Savez vraiment à quel danger vous vous exposer ? Et saurez-vous être parmi les premiers à rentrer dans son cœur ? Toujours est-il que seul l’héritière des Reynolds connaît la réponse…Et n’est sans doute pas très disposée à vous la donner. Parole de Rebelle !
Physique ;
Avalon est une jeune fille ayant visiblement hérité de la morphologie de sa mère – et par conséquent, de sa petite taille. Du haut de son mètre soixante-huit, elle est d’une corpulence fine, et peut même paraître d’une maigreur alarmante au premier abord. Sa peau d’une incroyable blancheur n’arrange bien entendu, rien à la situation. Bronzer relève quasiment de l’impossible avec sa peau ivoire. A croire que les Canadiens ne connaissent pas du tout le soleil, ou que la jouvencelle a passé toute sa vie enfermée – ce qui, bien entendu, n’est pas le cas. Elle a un visage fin, aux traits bien dessinés, ayant comme je l’ai dit hérité principalement du physique de sa maternelle. Un front dégagé, un nez droit et aquilin, une mâchoire légèrement carré, et surtout deux grands yeux brun noisette. Des yeux qui reflètent parfaitement la véritable nature de la jeune femme : blessée, mélancolique, n’ayant plus confiance en qui que ce soit d’autre qu’elle-même. De longs cheveux d'un brun soutenu encadrent son visage angélique. Ava possède une tignasse impossible à dompter, totalement insoumise. Tantôt bouclés, tantôt lisses, ils donnent bien du fil à retordre à notre Rebelle qui a finalement décidé de passer à travers cette crise capillaire comme si de rien n’était. Particulièrement fine, elle ne fait pas spécialement attention à ce qu’elle mange – ou en tout cas, elle n’est pas là à se peser tous les jours comme toutes ses anorexiques voulant à tout prix ressembler à leurs icônes de la mode. Ce qui n’empêche qu’à voir ses bras frêles ou son ventre naturellement plat, cela pousse parfois à l’inquiétude. Jolie brin de fille, elle a également de grandes jambes élancées, et des formes modestes là où il en faut. Elle s’habille au jour le jour, n’ayant pas de style particulier – si ce n’est qu’elle ne mise que sur des habits aux sonorités rock, rappelant ainsi son côté rebelle. Elle se maquille énormément, se cernant les yeux de noir, les mettant ainsi en valeur. Sinon, ce n’est pas non plus le genre de fille à passer des heures devant son armoire ou son miroir. Elle-même se considère comme banale, et cette condition ne semble guère la déranger. Comme si elle n’était pas consciente du regard des gens sur son passage. Mais vous me direz, après tout, qu’en a-t-elle à faire ? Et bien rien. Strictement rien.
« Merde. Je crois que je deviens folle. »
Il ne peut pas en être autrement. Je suis en train d’écrire dans un bouquin dont je ne veux qu’il ne soit lu par personne – ce que d’autres adolescentes qualifieraient de journal intime. Je suis tombée bien bas pour me rabaisser à toutes ces filles superficielles. A seulement douze ans, je vais finir par rentrer dans le rang, si ça se trouve. Moi, l’anti conformiste de première. Bah, non ! Je me vois mal au beau milieu des gens civilisés. Bref. J’suis seule. Mon père… Un paumé, ancien délinquant. Vive l’exemple à suivre. Et ma mère… Bah c’est simple, je n’en ai plus. Elle est morte y a… Je ne sais pas, je n’ai plus la notion du temps. Ça peut faire seulement quelques jours comme plusieurs mois. Mais je m’en souviens toujours comme si ça s’était passé hier. Elle est morte dans mes bras, foudroyée par un terrible cancer dont on pensait tous qu’il était guéri depuis bien longtemps. Mais non. Il avait fallu que ce mal vienne à nouveau la ronger. Comme si j’avais besoin de ça !
Je me sens orpheline. Je déteste ce mot. En fait, je déteste plein de choses. Dont mon paternel. Cet homme qui visiblement, n’a pas remarqué l’absence définitive de son épouse. J’aimerai avoir du soutien, une épaule sur laquelle m’appuyer. A douze ans, on n’est plus vraiment un gamin, mais on n’est pas vraiment un adulte non plus. On est paumé entre deux eaux. Sans personne pour nous tirer de cette galère. Ma mère a toujours été là pour moi, compréhensive, douce, patiente. C’est elle qui me rendait heureuse. Elle était toujours positive, optimiste. C’en est même incroyable. C’était mon rayon de soleil. Et là, d’un coup, tout s’est obscurci pour moi. Il n’y a plus de lumière, plus de soleil qui tiennent. Plus qu’un grand noir. Un grand vide. Un trou béant dans ma poitrine. Une absence et une douleur irréparable. Rien ni personne ne la remplacera jamais.
Je me suis assez étalée sur le sujet, non ?! J’ai pas envie d’en dire plus. Ma mère me manque, mon père fait comme si de rien n’était, continue à m’ignorer royalement, à lire son journal tous les jours, à engueuler les palefreniers du Domaine. Je n’ai rien d’autre à dire. Ma vie se répète de jour en jour. D’habitude, la monotonie du quotidien ne m’embête pas. Mais là… Chaque jour, je me sens un peu plus… vide. C’est un sentiment affreux. Je n’ai plus envie de monter à cheval, de sortir. Je suis désagréable avec tout le monde. Ils m’énervent tous. Mais peu importe. Je n’en ai plus rien à faire. Ma mère est plus là pour moi. Je suis abandonnée de tous. Y a rien d’autre qui compte en dehors de ça.
Extrait de Journal Intime.
19 Août 2004, par Avalon L. Reynolds
« Ça devient définitif et avéré. Je le déteste. »
Il me rend folle. Je n’en peux plus de lui et de sa continuelle insouciance, sa façon de faire comme si il ne se passait rien. Il continue à vivre sa petite vie depuis ce tragique jour de 2004 comme si il n’avait jamais existé. Le train-train habituel se poursuit, et il en est le conducteur. Il est trop franc, toujours à dire ce qu’il pense à voix haute, blessant les autres sans même s’en rendre compte. Trop ambitieux, à sans cesse monter des projets plus fantasques les uns que les autres – même si je me doute que c’est avant tout pour s’occuper l’esprit et éviter d’y repenser. Enfin ça, il ne me l’avouera jamais. Trop intelligent, aussi, trop observateur. Il m’énerve à décrypter le moindre de mes mouvements. Il m’énerve du simple fait qu’il me connaît si bien qu’il n’a même pas besoin que j’ouvre la bouche pour savoir ce que je pense. Et puis, ses manies de « Papa parfait faussement protecteur » qui commence à surgir de nulle part, ça m’exaspère aussi. Il m’interdit de fréquenter des personnes que j’apprécie, par le simple fait qu’ils sont apparemment dangereux pour moi. Foutaises ! Lui, il est dangereux pour moi. Il est tout simplement odieux, fourbe, décalé de tous les autres. Il est comme un serpent rampant à travers les hautes herbes, observant tout, toujours près à frapper. Fier et vantard. Rancunier. Jamais près à donner une seconde chance aux autres – si ce n’est à lui-même. Je ne peux plus le voir en peinture. J’en ai marre. Vivement que je puisse partir. Ma mère me manque de plus en plus. Le vide devient insoutenable, même après toutes ces années sans elle. Je sens que je vais craquer. Heureusement qu’Amy est là, sinon je me serai déjà jeté sous le premier train venant à passer sur la vieille voie de faire tout près de chez nous.
Heureusement qu’Evan est là, aussi. Lui aussi il me rend folle, mais j’ai peur que ce soit dans un autre sens. Zut… Est-ce que je suis en train de devenir comme toutes ces adolescentes hystériques, de véritables groupies s’énervant dès qu’elles voient un beau garçon passer ? Hum, non, je ne crois pas en être là non plus. Mais… Il est différent des autres. Il n’est comparable à aucun autre. Il est compréhensif et doux avec moi. Comme aucune autre personne. Et là, je ne sais plus où j’en suis. En tout cas, toujours est-il, heureusement qu’il est là ! Bref. Toute façon, un beau jour, un jour qui arrivera très prochainement, je l’espère, j’aurai la chance de partir. Dès que la moindre occasion se présente, je me casse de là et adios amigos. C’est tout ce que j’ai à dire. C’est tout ce que je veux faire.
Extrait de Journal Intime.
15 mars 2009, par Avalon L. Reynolds.
« L’occasion en or. Je la saisis. Je me taille, les potes. »
Wow. L’occasion est d’or. Pour la première fois que je suis ici, je touche du doigt le bonheur – du moins la conception que je m’en suis toujours fait. Je me casse. Je déserte le haras familial, la fameuse grande propriété des Reynolds. Je suis un peu embêtée de laisser Amy, mais un accrochage avec Evan a renforcé ma détermination à partir. Je me casse enfin ! J’exulte, yeah. Et en plus, je pars loin de mon Canada natal ! Dans une certaine «Midlothian institue ». Bon, je sais que je ne suis pas réputée pour ma sociabilité. Mais je ne pars pas là-bas pour me faire des amis. Je pars principalement pour quitter ces lieux qui, au fur et à mesure des années, ont sut devenir mon enfer personnel sur Terre. Et aussi – prétexte que j’ai donné à mon paternel – pour me perfectionner en équitation. Comme si j’avais besoin de traverser tout un Océan rien que pour ça ! Il y a d’excellentes écoles, dans le coin, si on prend la peine de chercher un peu. Bref.
Cependant, celle-ci a l’air prometteuse. Elle a une excellente réputation et, au fil des années, s’est spécialisé dans le jumping. Comme par hasard, il s’agit de ma discipline de prédilection. Pas besoin d’hésiter, je fonce tête baissée. Samedi matin, je serai dans un avion direction ; Mon avenir. Dans la matinée de Vendredi, je ferai ma grande arrivée à l’institure. Cachez-vous tous ! Par conséquent, je juge que ce carnet ne m’ait plus utile. J’y ai consigné pendant plus de six ans mes joies, mes peines, ma rage envers mon père… Une nouvelle vie démarre. Je ne veux pas ruminer mon passé. Je veux me reconstruire, revivre, tout recommencer depuis le début. Et tout ça, ça commence Samedi prochain. Bye, Bye !
Extrait de Journal Intime.
Mercredi 14 juillet, par Avalon L. Reynolds
Pseudo du membre ; Penny
Ou avez vous connu le forum ? ; Par le top site (:
Commentaire ou idées ; Je suis vraiment fan du desing 
Choix d'habitation ; Internat chambre double.
Autre ; Vive les alpacas !! 
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